Foire aux questions

Tout savoir sur l’alliance

Il vous manque encore des infos?

À propos de TeC
TeC est une alliance intersectorielle pour la transition socio-écologique née à Montréal fin 2022. Elle rassemble des groupes citoyens, des organismes communautaires, des institutions publiques, des chercheur·euses et des regroupements pour accélérer la transition socio-écologique (TSÉ). On agit ensemble pour transformer la ville, quartier par quartier, système par système.
  • Faciliter l’émergence d’espaces de dialogues et le renforcement d’une culture de collaboration élargie avec la société civile
  • Faire émerger, populariser, célébrer et mobiliser autour d’une vision partagée de la transition socio-écologique
  • Se donner collectivement les moyens de mettre en œuvre la TSE, notamment par de nouveaux engagements institutionnels et des initiatives structurantes pour l’écosystème
Plus de 150 organisations (dont plus de 120 à titre de membres formels) ont rejoint l’alliance : petits collectifs de quartier, organismes communautaires, réseaux sectoriels, centres de recherche, institutions publiques… Ce qui nous unit, c’est la volonté d’agir pour transformer la ville que nous habitons. Le chiffre et le portrait n’est sans doute pas à jour au moment où vous lisez cette réponse. Visitez la section À propos de notre site et vous verrez qui sont les organisations membres, les personnes impliquées sur les instances ou encore l’équipe de coordination générale.

À ne pas confondre avec notre vision organisationnelle. On parle ici de la vision de transition socio-écologique (TSÉ), au cœur de nos objectifs.

Lors de la création de TeC, fin 2022, la vision de transition socio-écologique reposait sur 6 piliers :

  • Les quartiers et la vie locale
  • La participation citoyenne, la démocratie et la création de communs
  • L’économie sociale et l’innovation sociale
  • L’équité, la diversité et l’inclusion, en renforçant le lien entre justice sociale et environnement
  • La culture et la création d’un récit collectif mobilisateur
  • Le rapport au vivant
Depuis, plus de 150 organisations, groupes et institutions montréalaises, et des milliers d’individus ont co-construit au travers l’alliance Transition en Commun une vision partagée pour Montréal. Cette vision est le fruit d’une mobilisation plurielle – citoyenne, communautaire, institutionnelle, académique – alimentée par des dizaines d’événements, des groupes de travail thématiques, et une volonté commune d’agir face aux crises multiples qui touchent notre métropole, nos quartiers et dépasse les frontières de Montréal.
Elle s’appuie sur un constat fort : aucune organisation ne réalisera seule la transition. Elle doit être collective, ancrée dans les territoires, et guidée par une transformation systémique de nos modèles sociaux, économiques, démocratiques et culturels.
Notre vision de la TSÉ est à la fois une boussole commune et un chantier vivant. Elle offre un cap collectif pour repenser Montréal à hauteur de ses quartiers, de ses habitant·e·s et des vivants qui l’habitent. C’est un appel à agir, à se relier et à transformer ensemble.
Un nouvel énoncé plus étoffé de la vision de TSE sera soumis à l’adoption des membres lors de l’AGA 2025.
Parce qu’on ne fait pas la transition chacun dans son coin. Une vision partagée, c’est ce qui permet de s’aligner, de parler plus fort, de faire front commun.
Oui, au sens noble du terme. On est même radical, au sens originel du terme à savoir qu’on questionne les racines des crises et des enjeux d’aujourd’hui. On est engagé·e, on agit pour transformer les choses et on le fait avec professionnalisme, stratégie et ouverture. On valorise la diversité des approches, la complémentarité et la composition des tactiques et des cultures d’action. Et on reconnaît le rôle indispensable des groupes militants, autant que ceux des institutions moins militantes.
Non. On ne soutient aucun parti. Mais on est clairement politique: on prend position sur des enjeux (logement, démocratie, justice environnementale, mobilité, etc.), toujours dans l’intérêt collectif.
Activités et réalisations
TeC agit sur plusieurs fronts. Nos événements publics (AGA, camps d’été, débats, visites de quartier, journées collectives, événements citoyens thématiques, etc.) sont la face visible de l’alliance : on y réfléchit, on y bâtit des ponts et on y agit collectivement… et on y passe du bon temps ensemble.

En parallèle, nos groupes de travail thématiques produisent des propositions concrètes, des diagnostics, des outils communs et des actions sur des enjeux comme la démocratie locale, le logement, la démotorisation ou la justice environnementale.

Avec l’Espace Quartiers, on soutient les dynamiques locales, on crée des liens entre initiatives de terrain et on valorise la diversité des réalités montréalaises. On met les quartiers au premier plan.

On mène aussi un travail d’influence auprès de la Ville et d’autres institutions, et de la société civile pour faire bouger les politiques.

Et nos communications servent à amplifier les voix, partager des savoirs, mobiliser plus largement et construire un récit collectif de transition.

Nous ne sommes pas un bailleur de fonds, nous ne sommes pas un organisme communautaire ou de quartier qui réalise des projets terrain ou offre des services aux citoyen·ne·s, nous ne sommes pas un mouvement citoyen, nous ne sommes pas un espace de concertation, nous ne sommes pas ce que nos membres sont car nous ne souhaitons pas prendre leur place, mais agir collectivement là où chacun·e rencontre des limites individuellement.

La coordination n’a pas de siège fixe. On travaille depuis plusieurs tiers-lieux comme la Cité-des-Hospitalières (Plateau) ou la Balise (Rosemont), mais surtout : nos activités se déploient partout à Montréal, dans tous les quartiers, avec une attention particulière pour les quartiers décentralisés et les iniquités territoriales. La transition, ce n’est pas que l’affaire des quartiers « bobo » ou centraux.
Notre ancrage est montréalais, mais on reçoit des demandes de l’extérieur et on partage nos apprentissages avec d’autres territoires. On travaille aussi avec des partenaires au Québec et au Canada pour faire circuler les idées et les solutions. On reconnaît bien sûr que la transition ne s’arrête pas aux frontières de la métropole.
On fait de notre mieux pour l’accessibilité physique, linguistique, culturelle et financière ou encore la sécurisation culturelle des espaces qu’on propose. Et on apprend en marchant. Plusieurs mesures pour la pleine participation ont été mises en place.

Tous nos événements sont gratuits. On offre lorsque possible ou lorsque sollicité un service de gardiennage, des repas et des titres de transport en commun. On offre aussi une compensation financière pour toute personne ou organisme pour qui le manque de $ serait un frein à leur participation. On s’assure que les lieux de nos événements sont accessibles pour les personnes à mobilité réduite. Nos activités et communications sont très majoritairement en français, mais on peut aussi se parler en anglais et on peut mettre en place un service de traduction simultanée au besoin lors des activités.

On est aussi très sensibles aux enjeux JEDI, non pas parce qu’on aime Star Wars mais parce que la justice, l’équité, les diversités et l’inclusion sont une posture, des valeurs et des pratiques hautement importantes et nécessaires. On est imparfait là aussi, mais on tente d’incarner plus que de prêcher. On offre à nos membres des formations, des publications et de la veille sur ces enjeux, on comprend la décolonisation comme un processus continu et jamais entièrement complété. On veille à ce que la composition de nos instances soit diversifiée et représentative, incluant les espaces de pouvoirs et l’équipe de coordination, mais aussi les audiences à nos événements. On a adopté la pratique des reconnaissances territoriales incarnées en ouverture de nos événements publics. Et bien d’autres choses.

N’hésitez pas à nous challenger la dessus. On est ouvert à la critique et on a plein d’angles morts.

Par une démarche d’évaluation participative, évolutive et continue, ancrée dans les apprentissages collectifs. On tente d’y intégrer les meilleures pratiques d’évaluation. On rend des comptes à nos bailleurs de fonds et à nos membres. On évite d’évaluer pour évaluer, de trop perdre de temps à se garder le nombril pour se célébrer et se vanter de nos impacts ; on veut plutôt apprendre, s’améliorer, et partager nos résultats. Nos grandes questions d’évaluation sont centrées sur nos objectifs et notre théorie du changement et vont comme suit :
  • Comment notre alliance contribue-t-elle à l’émergence, à la diffusion et à la mobilisation autour d’une vision partagée de la transition socio-écologique à Montréal ?
  • En quoi nos espaces de dialogue et nos collaborations (événements, instances, gouvernance, etc.) influencent-ils l’engagement des acteur·trice·s institutionnel·le·s et de la société civile et les changements dans la culture de collaboration ? Comment pouvons-nous renforcer leurs impacts ?
  • Notre mode de fonctionnement et nos approches favorisent-ils une participation large, inclusive et transformative, et quelles pistes d’amélioration identifions-nous ?
  • À quels progrès (leviers, engagements, initiatives structurantes, etc.) contribuons-nous dans la mise en œuvre concrète de la transition socio-écologique, et quels apprentissages émergent des leviers et obstacles rencontrés ?
  • Comment notre démarche inspire-t-elle et influence-t-elle d’autres territoires, et que retenons-nous des dynamiques de dissémination de nos apprentissages ?
  • Quels sont les effets imprévus, positifs ou négatifs, générés par notre alliance et ses actions, et comment ces effets nourrissent-ils notre réflexion et nos ajustements ?
Oui : AGA, camp d’été, rencontres du CO, visites de quartier, événements publics. Consultez notre calendrier ou abonnez-vous à l’infolettre pour recevoir les invitations!
Gouvernance, fonctionnement et implication
Elle repose sur plusieurs instances :
  • Centralisées : comité d’orientation (CO), comité exécutif (CE), coordination générale (CG)
  • Décentralisées : groupes de travail et chantiers thématiques, Espace Quartiers, comités ad hoc
  • Collectives : membrariat, assemblée générale, rencontres des membres
Transition en Commun est une association non personnifiée constituée sans but lucratif, en vertu d’un contrat d’association adopté le 9 mai 2025 par son Comité exécutif. Ce contrat, régi par le Code civil du Québec, encadre les objets, les règles de gouvernance, les responsabilités des membres et les modalités de fonctionnement de l’alliance. Il constitue le fondement légal de l’association et peut être consulté en tout temps par les membres.
Nous ne sommes donc pas un OBNL, ni une coopérative ou autre forme juridique dûment incorporée. C’est un choix intentionnel qui incarne le contexte et la mission d’alliance.
Notre association est depuis sa fondation hébergée par Projet Collectif Québec, OBNL dûment incorporée, auprès duquel nous souscrivons des services d’hébergement administratif.
Des groupes citoyens (formels ou non), des OBNL, des institutions publiques, des regroupements, des centres de recherche, et exceptionnellement des entreprises à mission. Les individus ne peuvent pas être membres en tant que tels, mais peuvent être invités à contribuer et sont les bienvenus dans nos événements.
Un formulaire d’adhésion est disponible en ligne. La coordination vérifie votre admissibilité, puis le Comité exécutif valide les demandes. L’adhésion est gratuite et valable pour deux ans.

Contactez-nous à info@transitionencommun.org pour une rencontre d’information. On discutera ensemble des meilleures formes d’implication.

Oui ! Il est possible de :
  • Participer à des rencontres ouvertes ou événements publics
  • Contribuer à des groupes de travail ou chantiers thématiques
  • Entrer en contact avec l’équipe de coordination
  • S’impliquer plus étroitement sur une dimension ou une autre via un partenariat, un stage, du bénévolat ou un emploi si une opportunité est ouverte.
  • Et toute autre implication pertinente
Même une petite action compte : venir à un événement, relayer une info, proposer une idée ou donner un coup de main ponctuel. On est plusieurs, mais on a besoin de tout le monde.

Oui. On est toujours à l’écoute d’idées. La coordination générale ou les coordinations des groupes de travail et instances les reçoivent et les font cheminer dans les bons espaces. On a tendance à laisser la priorité aux initiatives et propositions des membres, mais on n’est pas fermés.

La coordination générale (CG) est nommée, évaluée et, au besoin, révoquée par le Comité exécutif (CE). Elle peut être exercée par une ou deux personnes. Elle est responsable d’établir et de mettre en œuvre le mode de fonctionnement de l’équipe de TeC, selon des principes de transparence, de coresponsabilité et de répartition du pouvoir. Elle propose et fait adopter des politiques internes (finances, gouvernance, etc.) pour encadrer ses responsabilités.
Ses principales fonctions sont :
  • Exécuter le plan d’action, incluant l’organisation d’événements et le soutien aux groupes de travail
  • Assurer les communications internes et externes, dans le cadre défini par le Comité d’orientation
  • Représenter l’alliance, au même titre que les co-porte-paroles
  • Mettre à jour et présenter le budget à chaque CE ; Préparer les rapports d’activité et financiers
  • Pour les décisions importantes (embauches, dépenses > 5 000 $, nouvelles demandes de subvention, partenariats clés), elle consulte le CE
La CG s’appuie aussi sur un prestataire d’hébergement administratif (comptabilité, paie, assurances, etc.), dont le mandat est encadré par une entente annuelle validée par le CE.
Le CO est composé de 32 membres issus de 7 collèges. Il valide les grandes orientations et prises de position. Il se réunit chaque trimestre dans un quartier différent de Montréal.
Ils assurent une représentation équilibrée au sein du CO: groupes citoyens, acteurs de quartiers/OBNL locaux, acteur·rice·s régionaux/nationaux, institutions municipales, etc.
Le CE est composé par 9 membres dont une partie sont élu·e·s en AGA à même les membres du CO, ou coopté·e·s par le CÉ. Il est plus proche des opérations, de la coordination générale et des stratégies que le CO. Il encadre la coordination générale et supervise les décisions financières. Il se rencontre mensuellement.
Un espace de travail collaboratif sur un enjeu donné : logement, mobilité, résilience, démocratie, etc. On y construit, on apprend, on propose. Ils peuvent être relativement ponctuels ou ciblés sur 2-3 ans, ou plus structurants et à plus long terme.
Les groupes sont généralement composés d’une quinzaine de personnes qui représentent la diversité intersectorielle des membres et partenaires de TeC (chercheur·e·s, institutions, groupes citoyens, organismes, etc.). La composition initiale et le mandat d’un groupe de travail sont validés par notre comité exécutif. Les groupes sont ensuite relativement autonomes, peuvent prendre des initiatives, et suivre leur propre feuille de route.
Chaque GT :
  • Bénéficie d’une coordination rémunérée
  • Fixe lui-même la fréquence de ses rencontres
  • Peut demander un budget pour soutenir ses travaux
  • Veille à une représentativité adéquate, notamment en tenant compte des enjeux d’équité, diversité et inclusion (EDI), et en s’assurant que des voix sous-représentées influencent réellement les travaux
Chaque membre d’un GT s’engage à :
  • Participer activement et avec intégrité aux rencontres et suivis
  • S’impliquer dans les chantiers ad hoc du GT
  • Assurer des liens avec ses autres milieux d’implication
Les thématiques de GT s’ancrent dans la vision et les priorités stratégiques de TeC : démocratie, participation citoyenne, justice environnementale, logement, mobilité, etc. Les premières années ont permis de mettre sur pied plusieurs GTs actuellement actifs.
L’émergence de nouveaux GT suit ce processus :
  • La coordination générale (CG) maintient une liste de thématiques possibles, nourrie par les besoins exprimés dans les événements ou les instances
  • Le CE établit des priorités au sein de cette liste
  • Pour chaque thématique prioritaire, la CG élabore un dossier (contexte, mandat, budget, soutien attendu, etc.)
  • Ce dossier est soumis au CE, qui peut l’approuver, le refuser ou demander des ajustements
Par concertation dans les instances collectives, avec un mode de décision recommandé par consentement. On vise l’intérêt collectif, en toute transparence. Certaines décisions sont prises au vote à la majorité comme les élections du comité exécutif. D’autres modes de prise de décision existent aussi ; par exemple, les membres du comité d’orientation sont nommés par tirage au sort.
Elle peut être suspendue ou exclue de l’alliance, après analyse par le CE, en respectant les règles de notre cadre de gouvernance.
Oui.
Lors du lancement de l’alliance en novembre 2022, la Ville de Montréal s’est associée à TeC à travers une démarche de co-construction pour imaginer et mettre en œuvre une vision ambitieuse de transition socio-écologique pour Montréal. La Ville de Montréal fait partie des partenaires fondateurs de TeC et en est formellement membre. Nous collaborons au quotidien avec des représentant·e·s de différents services et arrondissements, ainsi qu’avec des élu·e·s.
Fin 2024, après 18 mois de collaboration, une entente formelle a été conclue avec la Ville de Montréal. Elle inclut un engagement financier de la Ville de Montréal à hauteur de 150k$ par an sur 3 ans. Elle inclut également un cadre formel pour mieux encadrer cette relation de collaboration. Ce cadre – qui prend la forme d’un guide de participation – définit les modalités de participation des employé·es de la Ville au sein des instances et activités de TeC, tout en assurant l’indépendance des deux parties.
Ce partenariat repose sur trois principes clés :
  • Une reconnaissance mutuelle des rôles de chacun
  • Une collaboration structurée, mais souple
  • Une transparence sur les limites et les zones d’autonomie
Ce cadre est évolutif et continue d’être bonifié avec les parties concernées. Il fait partie des outils stratégiques de TeC pour amplifier l’impact collectif et institutionnel de la transition à Montréal.
On collabore, on dialogue, mais on garde notre indépendance.
Elle se termine le 31 décembre.
Communications, relations publiques et positionnement
Abonnez-vous à notre infolettre, suivez-nous sur les réseaux sociaux ou venez nous voir en vrai !
Oui, sauf exceptions. On veut que nos productions soient utiles, partagées, réutilisées. On croit aussi profondément aux savoirs ouverts. Allez visiter notre base de connaissances sur En Commun.
Oui, sur les enjeux. Pas sur les partis, ni sur nos membres. Nos positions sont issues d’un processus de concertation, appuyées sur notre vision commune, débattues avec les membres, et adoptées par le Comité d’orientation (CO). On a même un processus formel et documenté de prise de position publique.
Pendant les deux premières années de l’alliance, TeC n’a pris aucune position publique. C’était un choix, en partie lié à la complexité du positionnement pour une alliance intersectorielle, soucieuse d’une éthique d’alliance et respectueuse de la diversité des membres. Mais au fil du temps, un cadre de prise de position a été établi, à la fois pour permettre de se positionner clairement, et pour en baliser les conditions.
Pourquoi est-ce important de prendre position ?
  • Parce que ça permet d’assumer notre objectif 1 : faire vivre et diffuser une vision partagée de la transition socio-écologique.
  • Parce que ça contribue à notre objectif 2 : créer de nouveaux leviers d’action collective, y compris en ébranlant le statu quo.
  • Parce que ça soutient notre objectif 3 : mobiliser largement et bâtir une culture de solidarité entre les membres.
Nos prises de position adoptées sont répertoriées dans notre cahier de position. Disponible sur demande.
Les courriels des membres de l’équipe sont dans la section Équipe de notre site. Vous pouvez aussi nous croiser sur le terrain, lors des événements, à nos bureaux ou au détour de la terrasse d’un café.
Financement et budget
TeC est financé par des partenaires publics (Ville de Montréal, gouvernement du Québec) et philanthropiques (Fondation Lucie et André Chagnon, etc.). On tient à préciser : on évite de solliciter les financements accessibles aux petits organismes. On travaille plutôt à mobiliser de nouvelles ressources pour la transition à Montréal. Pour ce qui est du budget de TeC, on plafonne nos objectifs de financement et notre budget pour ne pas concentrer trop de ressources et compétitionner avec le financement de nos membres et de l’écosystème de TSÉ. On s’engage à faire du mieux qu’on peut avec ce budget, et pas plus.
En 2023, notre budget était de 350k $, et de 750k $ en 2024. En 2025 et pour les années subséquentes, on s’est donné l’objectif d’un budget maximal d’1 M$.
Le budget est suivi et orienté par le comité exécutif, et opéré au quotidien par la coordination générale.
Nos principales dépenses sont :
  • la rémunération de l’équipe de coordination
  • quelques honoraires professionnels pour des consultants, mandats selon les besoins ou encore nos sous-traitants en communications
  • un fond d’indemnisation solidaire
  • des frais pour l’organisation des événements publics
  • l’Espace Quartiers et chaque groupe de travail dispose d’une enveloppe budgétaire dédiée
  • nos frais d’administration sont maintenus au plus bas et nous versons un % de nos dépenses à notre prestataire de service administratif
Nos états financiers et notre budget annuel sont disponibles sur demande.
On aimerait que ‘’Non’’, mais inévitablement ‘’Oui’’. On ne cherche pas à remplacer qui que ce soit dans l’écosystème existant. On est là pour renforcer, valoriser, relier. On respecte les forces vives en place. On est un espace commun, un levier. Pas une super-structure. Notre posture est rassembleuse, stratégique, contributive.
Oui. Nous sommes beaucoup sollicités pour de tels appuis. On privilégie nos membres. Nos appuis doivent être alignés avec nos valeurs, nos priorités, et nos activités. Lorsque possible, on s’associe directement à des projets et on est en mesure d’y apporter une contribution en nature et/ou financière. Contactez directement la coordination générale.

Vous avez encore des questions?